A la recherche des autres mondes

Suivez en vidéo la conférence de Jean-Philippe Beaulieu, Directeur de recherche au CNRS. Il travaille sur les exoplanètes depuis 25 ans.

Conférence passionnante organisée en Août 2021 par l’Institut d’Astrophysique de Paris, au château d’Abbadia, avec le support de la SAPCB et Hendaye Tourisme.

Le film de la conférence est réalisé par des membres de la SAPCB. (En particulier merci Gérard !)

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A l’occasion de la parution de son dernier ouvrage, Jean-Pierre Luminet fait le point sur les propriétés extravagantes des trous noirs : machines à produire de l’énergie, ordinateurs suprêmes, portes de passage vers d’autres univers, maelströms emportant dans leur ronde matière, espace et temps. Des microscopiques aux géants en passant par les stellaires, les trous noirs se révèlent aux astronomes selon une panoplie de phénomènes allant des hypernovae aux quasars, en passant par les sources X binaires et les lentilles gravitationnelles. Enfin, aux côtés de la mystérieuse énergie sombre, les trous noirs semblent devoir jouer un rôle prépondérant dans le destin à très long terme de l’Univers.

 

Conférence de Jean-Pierre LUMINET, Astrophysicien, écrivain, Directeur de recherche au CNRS.

Espace des sciences / Rennes 2 – Les Mardi de l’Espace des sciences

Durée: 1h35

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Les pulsars ont été découverts grâce à la radioastronomie. C’est Jocelyn Bell qui en a fait par hasard la première observation en 1967. Le radiotélescope de Cambridge lui a révélé un objet qui émettait des pics parfaitement périodiques, ce qui est déjà une curiosité, mais dont la période était extrêmement courte, de 1,3373 secondes ! C’était le phénomène astronomique le plus rapide connu, les plus courtes périodes déterminées à l’époque étant de l’ordre de l’heure. Chaque bip dure 0,04 seconde. L’objet était si étrange, que les astronomes de Cambridge l’ont dénommé humoristiquement LGM1 (Little Green Man), permettant de rêver à des extraterrestres qui nous contacteraient. Cette interprétation a bien sûr fait le bonheur des journalistes…

 

Rédigé par Jacques Giespert

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Les naines blanches représentent l’aboutissement de l’évolution des étoiles de masse relativement faible. C’est en particulier la destinée de notre Soleil.

Une naine blanche est une étoile :

  • de masse comparable à celle du Soleil,
  • mais dont le diamètre est comparable à celui de la Terre.

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Le milieu interstellaire est constitué de gaz (H et He) et de poussières. Il est extrêmement dilué. Il est très complexe : on y trouve un peu de tout…

 

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Les géantes rouges sont les étoiles qui ont terminé la fusion centrale de l’hydrogène, et fusionnent l’hélium en leur centre.

Rédigé par Jacques Giespert

 

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Les étoiles variables constituent l’un des rares domaines où l’amateur peut faire œuvre scientifique, même avec des moyens modestes. Il y a énormément d’étoiles variables, et les professionnels ne peuvent les observer pour deux raisons :

  •  par manque de temps : il faut une surveillance systématique ;
  •  par manque de matériel, leurs télescopes très coûteux ayant des tâches plus importantes à remplir.

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Les étoiles doubles sont des couples d’étoiles, apparents ou réels.

 

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Les étoiles à neutrons sont des objets compacts, les seconds après les naines blanches par ordre de densité croissante. Comme les naines blanches :

  • ce sont des résidus d’étoiles, mais les astres qui les ont formés étaient plus massifs ;
  • leur stabilité provient de la pression quantique de dégénérescence d’un fermion, qui est dans ce cas le neutron.

Les étoiles à neutrons sont des objets à la fois théoriques et observés. Prévus par le calcul, ils ont étés découverts sous différentes formes, dont la plus connue est le pulsar.

 

Rédigé par Jacques Giespert

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